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Porteuses d’espérance

Encore aujourd’hui, les Filles de la Sagesse du Canada veulent être Sagesse au cœur du monde en aimant comme Jésus Sagesse, d’un amour tendre et compatissant, sans frontières.

Cette mission en fait des porteuses d’espérance. Elle leur impose d’être vigilantes et alertes, de s’adapter aux réalités du monde avec discernement, et d’annoncer les « vraies sagesses » ou valeurs évangéliques : compassion, ouverture, inclusion, respect de la vie et de la création.

En 1884, les premières Filles de la Sagesse se sont engagées dans le soin et l’éducation des orphelins. Depuis, elles n’ont cessé de multiplier les engagements en réponse aux besoins du milieu et du temps : éducation, santé, pastorale, sous toutes ses formes.  Inspirées par Marie-Louise Trichet, leur fondatrice, elles ont développé et/ou soutenu des services pour venir en aide à toutes les catégories de personnes. 

Une grande quantité d’œuvres a vu le jour sous l’impulsion des FDLS au cours de leurs 137 ans de présence au Canada. Toujours actives, elles collaborent avec de nombreux organismes :

  • Accueil et soutien de familles nouvellement arrivées au pays
  • Activités et relations avec des personnes marginalisées
  • Aide aux personnes aînées et itinérantes
  • Animation de groupes de prière
  • Travail en pastorale
  • Liturgie dans les paroisses 
  • Services d’entraide communautaire 
  • Accompagnement spirituel
  • Apprentissage de langues
  • Membres de conseils d’administration

Plusieurs Filles de la Sagesse du Canada ont exploité leurs talents artistiques dans les arts picturaux et l’écriture, et continuent de le faire. Quelques-unes ont d’ailleurs plusieurs livres à leur actif. D’autres encore œuvrent dans la sphère théologique et contribuent à faire avancer la cause du féminisme dans l’Église. 

Si la majorité des FDLS du Canada sont à l’âge d’une retraite bien méritée, plusieurs poursuivent une xième carrière en animant des groupes de rencontre spirituelle ou d’Amis.es de la Sagesse, en accompagnant des personnes âgées ou malades, en participant à l’organisation d’activités communautaires ou à l’animation de la vie de la communauté religieuse.

À toutes ces formes d’engagements au pays s’ajoutent celles qui ont été réalisées en pays de mission. Plusieurs religieuses canadiennes ont œuvré dans trois pays qui ont dépendu du Canada, les États-Unis, la Papouasie–Nouvelle-Guinée et les Philippines. Elles y ont fondé ou appuyé des organismes dans le but de favoriser une prise en charge par les populations locales. Avec la participation des gens, elles ont bâti l’Église locale et formé les laïques en pastorale et en catéchèse. D’autres ont aussi été appelées, et le sont encore, à soutenir le travail de la congrégation internationale en assumant des responsabilités administratives ou des services ponctuels.

En parallèle, mentionnons également la collaboration avec d’autres congrégations religieuses ou au sein d’organismes en matière de justice et d’écologie intégrale. Ce type d’engagement nécessite un travail de sensibilisation sur tous ces enjeux tant à l’intérieur de la communauté religieuse que dans ses relations avec les autres et le public en général.