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QUI PEUT RECEVOIR LA COMMUNION par Claire Dumont
COMMENTAIRES
Diane Thibodeau écrit ( le 25 février 2008 )
Brava à toi, Claire! Il est bon que des voix s'élèvent pour contrer des paroles ou des gestes "choquants". Comme toi je trouve que, sous maints aspects, notre Eglise présente encore un côté trop légaliste où l'exercice du pouvoir semble éclipser l'exercice de la charité. J'aime aussi que tu mentionnes l'inclusivité, l'accueil inconditionnel des personnes dont faisait preuve Jésus lorsqu'Il est passé parmi nous.
J'aimerais poursuivre avec une autre question soulevée par cet encadré du bulletin, à savoir, qu'entendons-nous par être "en état de grâce"?
Pour ma part, il s'agit d'une disposition foncière à recevoir tout comme grâce, à reconnaître la gracieuseté, la gratuité du Divin dans ma vie. Avec cette reconnaissance au coeur et en commune-union avec mes soeurs et frères dans la foi, je suis capable de m'approcher humblement de la Table et de faire miennes les paroles du centurion: Seigneur, je ne suis pas digne...
Diane
Jeannette Roy écrit ( le 22 février 2008 )
Je viens de lire ce matin la réaction de Claire à la lecture d’un encadré sur « Qu’est-il exigé pour recevoir la communion » publié dans le feuillet de sa paroisse. Pour moi son commentaire est un « cri du cœur » et, comme elle le souligne dès le début, d’un cœur attristé. Je peux la comprendre car elle vient de nous présenter dans un merveilleux petit livre « Venez, la table est mise » le résultat d’années de prière, réflexion et de recherches sur l’eucharistie.
Je crois que Jésus, qui est le champion de la non-exclusion, pourrait signer ce texte plein de nuances et d’empathie. Nous devons sans aucun doute nous approcher avec respect de la table eucharistique car nous sommes dans le domaine du sacré et de la foi. Cependant, je suis moi aussi profondément interpellée par la souffrance des divorcés à qui, officiellement du moins, la communion est refusée. Je pourrais citer combien de paroles et gestes d’amour et de miséricorde de Jésus lors de rencontres avec ces êtres fragiles que nous sommes tous. En terminant, je cite ce magnifique extrait de la Première épître de Saint Jean 3, 18-20 : « Petits enfants, n’aimons ni de mots, ni de langue, mais en acte et en vérité. À cela nous saurons que nous sommes dans la vérité et devant Lui nous apaiserons notre cœur si notre cœur venait à nous condamner, car Dieu est plus grand que notre cœur, et Il connaît tout. Jeannette Roy, fdls
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FLEURS, CONFETTIS, 305 MERCIS par Serge Daigneault
COMMENTAIRES:
Gabrielle Blais écrit ( le 15 février 2008)
Comme c`est beau la reconaissance! Je suis ravie de lire ces lignes ainsi que de souligner notre anniversaire de fondation. Les photos ajoutent au remerciement qui est exprimé en termes élogieux. Félicitations à toute la maisonnée qui se donne sans compter avec un sourire contagieux. Puissiez-vous continuer encore longtemps votre
apostolat. Je prie la Sagesse de vous bénir.
Gabrielle
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AU COEUR DU QUARTIER ROSEMONT par Lucille Deschênes en collaboration avec Rachelle et Maria
COMMENTAIRES:
Alice Chartrand, fdls écrit ( le 15 février 2008 )
Je viens de lire votre article sur notre site web. Quel merveilleux projet! Quel bonheur vous procurez à ces personnes fragilisées ! C'est un travail à la Marie-Louise! Félicitations et bonne continuation dans cette oeuvre d'amour !
Amitiés,
Sr Alice Chartrand